Envie de slow tourism ?

une longue route dans un paysage naturel
Je vous concocte un voyage écoresponsable sur-mesure

Si vous souhaitez vous mettre au vert le temps des vacances et ralentir le mouvement, le slow tourism va vous plaire ! Partez à la découverte d’une région ou d’un pays, en adoptant une démarche écoresponsable, dans une aventure pleine d’authenticité locale, de rencontres et d’apaisement.

Le slow tourism est plus qu’une manière de voyager, c’est un état d’esprit qui vous ramène à l’essentiel et aux fondamentaux. Que vous souhaitiez vous détendre, faire une réflexion sur vous, vous cultiver, faire des rencontres, avoir des sensations fortes ou au contraire ne pas en avoir, renouer contact avec la nature et les terroirs, cette forme de tourisme durable se prête à toutes vos envies !

Dans cet article, je vous présente ce qu’est le slow tourism, d’où il nous vient et ses principes indispensables. Je vous explique également où j’ai découvert cette forme de tourisme, que je ne connaissais pas avant, et comment je peux vous aider à organiser votre voyage de slow tourism.


D’où vient le slow tourism ou slow travel ?

Le slow tourism nous vient d’Italie. Né dans les années 80, il est basé sur le slow food. Comme son nom « slow » l’indique, ce mouvement vous encourage à ralentir et prendre votre temps. Depuis plusieurs décennies, partout dans le mode, nous prenons conscience de l’empressement dans notre quotidien et la pression que cela implique. Quelques Maires de villes italiennes ont donc décidé de créer le « slow » en réponse à ce besoin.

Le slow food a été le premier aspect du mouvement qui a fait réagir les Italiens. Ils s’ennuyaient des vieilles recettes de Mama, délicieuses et pleines de saveurs ! Comme partout ailleurs, ils troquaient les légumes frais et petits plats maison par des repas sur le pouce et restaurations rapides ! Sans parler de l’impact écologique sur l’environnement et l’abandon de l’économie locale, au profit des entreprises internationales (souvent dans la surconsommation).

Les Italiens ont donc voulu revenir à une cuisine plus authentique, en rapport avec leurs origines et exprimant, autant qu’eux, l’amour pour les bonnes saveurs de ce pays ! Quel rapport alors avec le slow tourism me direz-vous ? Tout, en fait ! Car tout est lié.

En revenant à la cuisine authentique maison, vous répondez aux invitations du quotidien, en disant « Non merci, je rentre chez moi me faire à manger » ou « Non, je préfère qu’on aille dans un petit restaurant, où ils cuisinent avec des produits locaux ». Et petit à petit, vous allez faire d’autres choix évidents, comme consommer de saison, et consommer juste ce dont vous avez besoin.

Et tout en continuant naturellement cette démarche, vous réfléchirez sur le fait que vous avez besoin de certaines choses chez vous, mais dans une quantité moindre. C'est là que vous commencez à sortir tout doucement de la surconsommation.

Et en parallèle de cela, vous rencontrez des personnes à qui vous allez expliquer ces révélations que vous avez, et qui vous diront : « Mais en plus c’est bon pour la planète ce que vous faites parce que … ». Ce qui va vous donner également un intérêt pour comprendre l'impact de vos gestes pour l’environnement.

Au final, vous allez progresser vers une autre manière de voir la vie, de consommer et de gérer votre quotidien, car cette démarche plus lente vous fait une libération mentale, et diminue le stress que vous vous infligez au quotidien.

Et là, vous partez en vacances ! Pourquoi changer vos nouvelles habitudes si bonnes ?

Comme je vous l’expliquais, le slow est un état d’esprit, ou plus concrètement si vous préférez, une manière de vivre. De la nourriture, il s’est vite répandu sur tous les domaines de la vie : slow cosmetic, slow life, slow parenting, slow business, slow management, etc. Il est donc normal que le ralentissement se poursuive aussi durant les vacances, que vous restiez chez vous ou que vous partiez faire du tourisme.

Ce besoin de ralentir est si grand, qu’on voit naître partout dans le monde « des villes lentes », labellisées « Cittaslow ». Bien que l’association à développé un réseau de « villes lentes » en France, pour le moment le label n’est pas reconnu.


Quelle est cette nouvelle forme de tourisme vert ?

Le slow tourism consiste à ralentir votre rythme de voyage, que ce soit dans votre esprit ou physiquement. Vous obtenez même le petit nom de « touriste lent », dans la sphère « slow » ! Et ce n'est pas péjoratif, au contraire !

Le tourisme lent s’oppose, ou complète, le tourisme de masse. On parle de complémentarité quand le slow comble des besoins que le tourisme "rapide" ne satisfait pas. En effet, le slow apporte une vraie substance à votre voyage, en mettant l’accent sur la qualité des activités faites et non sur la quantité.

La version traditionnelle du tourisme, quant à elle, se concentre généralement sur la visite de lieux commercialisés, dans des temps impartis et instagrammables. Ce rythme impose une cadence et parfois fait naître une frustration, de ne pas avoir terminé votre « to do list » de la journée.

Les voyageurs lents recherchent ainsi de nouvelles sensations, dans un univers moins aseptisé et avec une plus grande liberté de mouvement. Ils partent à la rencontre de nouveaux lieux, dans une nouvelle temporalité, avec de nouvelles personnes, pour être stimulés à nouveau, dans leurs sensations et leurs émotions.

Cette nouvelle manière de voyager correspond à un tourisme durable et englobant. Il s’inscrit dans la plupart des formes de tourisme qui existent actuellement. Par exemple avec son côté environnemental, le slow tourism s’inscrit dans le tourisme responsable et l’écotourisme.

Dans ces formes de tourismes, vous portez attention à l’environnement, vous privilégiez les pratiques bas-carbone, pratiquez des activités proches de la nature et des matières naturelles. Vous minimisez votre impact sur la nature, les ressources naturelles, et sur les populations locales, afin de les respecter durant votre voyage.

Pour le côté social du slow tourism, cela ne s’arrête pas à discuter avec les habitants. Il peut comprendre une forme de tourisme humanitaire, de tourisme communautaire et de tourisme solidaire. En fonction de votre souhait et du lieu de visite, vous pouvez choisir d’apporter votre aide à la création de projets, pour améliorer les conditions de vie locale, de participer à la création d’événements locaux ou autres composantes de la vie locale.

Votre investissement et les liens que vous créez avec les acteurs locaux permettront de faire parler de la ville et ses habitants, pour un rayonnement positif au-delà de leur frontière.

Les retombées du slow tourism sur l’économie locale sont donc assez évidentes. Et pour cela, on peut le rapprocher de l'agrotourisme et du tourisme équitable. Dans ces types de tourisme, il est courant de visiter les milieux agricoles et de faire attention à la rémunération juste des producteurs. Le souhait général est de valoriser le circuit court.

Le slow tourism créé donc un cercle vertueux à travers toutes ses pratiques, qui reposent sur quatre piliers majeurs pouvant correspondre à des motivations différentes de voyage.

Principe n° 1 : Aller à la rencontre de la richesse et de l’authenticité du lieu

En mode slow, votre comportement de touriste change. Quand vous allez au ralenti, vous portez attention à tout autour de vous et tout le monde. Vous posez des questions aux acteurs locaux que vous rencontrez, sur comment se passe leur travail quotidien, comment sont-ils devenus boulanger, par exemple.

Que vous recommandent-ils de faire ou voir ? Quelles sont les fêtes locales auxquelles vous pouvez participer ? Quelles activités pouvez-vous découvrir dans cette ville et nulle part ailleurs ? Que pouvez-vous faire avec d’autres habitants ? Y a-t-il des parcs ou des jardins magnifiques à visiter pour exalter vos sens ?

Quand vous voyagez en slow tourism, vous êtes comme une personne qui s’assoie sur un banc, un soir d’été, pour admirer le magnifique coucher de soleil qui vous en met plein les yeux. La seule différence, c’est que ce ne sera pas le temps d’un bref instant éphémère, mais pour toute la durée de vos vacances. Vous laissez la place à l’imprévu, dans un lieu inconnu, entouré de centaines de choses à découvrir. Autrement dit, vous partez à l’aventure !

Mais l’authenticité, quand vous êtes touriste lent, n’est pas recherchée uniquement autour de vous. Certains profitent d’un slow travel pour faire un peu de développement personnel. Dans ce cas, vous pouvez vous recentrer sur vous, pour identifier votre statut personnel, renforcer votre positivité face à votre chemin de vie, et expérimenter votre propre authenticité.

Principe n° 2 : Pratiquer une découverte lente pour se détendre et se ressourcer

Les touristes favorisant un rythme lent en vacances souhaitent généralement faire un détachement physique et mental de leur quotidien et de leurs obligations. C’est probablement même la raison la plus récurrente !

Par conséquent, la règle d’or est d’oublier les emplois du temps strict ! Vous choisissez plutôt votre temps. C’est-à-dire que vous vous octroyez des temps personnels, seul, des temps avec vos proches, et des temps pour faire des rencontres. Vous privilégiez des temps de bien-être, de détente et ressourcement avec des activités typiques : méditation, respiration, yoga, promenade, etc.

Au final, peu importe l’activité que vous choisissez, l’important est ce qu’elle vous apporte. Nous ne nous relaxons pas tous de la même manière. Vous pouvez très bien opter pour une partie de pêche, lézarder au soleil, lire un livre, faire un puzzle, etc. Le principal, c'est que ce soit une activité lente et que cela ralentit votre rythme cardiaque, pour avoir un effet d’apaisement. Mais le ressourcement peut très bien venir aussi d’une soirée entre amis, vous n’êtes pas obligé d’être seul pour cela.

Bien sûr, la nature est typiquement le lieu de la déconnexion et de la relaxation à privilégier, surtout lorsqu’on s’abandonne dans une immensité de verdure, loin de tout ! Faire un retour à la terre, avec ses grands arbres, ses magnifiques fleurs odorantes, les pépiements des oiseaux, la fraîcheur de la forêt qui vous entoure, etc. Détox de la ville garantie !

Un seul mot d’ordre : vivre l’instant présent ! Et pour aller même plus loin dans le lâcher-prise, vous pouvez aussi partir en « zone blanche » pour vous séparer de vos écrans le temps d’un séjour. Il est même déjà probable que des hébergeurs slow, bien que non référencés « zone blanche », soient déjà bien avancés au quotidien sur la déconnexion digitale (internet sans boxe, pas de télévision, téléphone fixe pour minimiser le portable, etc.).

Principe n° 3 : Privilégier la mobilité douce pour respecter l’environnement que vous visitez

Aujourd’hui plus que jamais la question de l’environnement est à l’ordre du jour. C’est également pour cette raison que le slow tourism a tant le vent en poupe ! Il est vital de préserver notre environnement mais pas uniquement durant la semaine ou au travail.

La préservation de notre espace de vie consiste en de simples gestes à faire au quotidien. Ces gestes ne prennent pas de temps mais il faut se les remémorer pour qu’ils redeviennent des automatismes. Alors, dans la pratique du slow tourism, le touriste lent fait attention à limiter l’impact carbone durant ses vacances, surtout sur les trajets. C’est ce qu’il y a de plus facile et évident à réaliser !

Ainsi vous pouvez opter pour différentes options, et n’hésitez pas à être créatif : le train, le bus, le covoiturage (avec vos proches ou des inconnus), le vélo, la trottinette, le monocycle, sans oublier le skateboard, le bateau à voile, etc.

En somme, évitez tout ce qui est à moteur et à électricité. Oui, contrairement à ce que disent les services marketing des moyens de transport électriques, la production d’électricité à un fort impact écologique. C’est donc à éviter au maximum.

Pour diminuer de manière plus évidente votre empreinte carbone durant vos vacances, c’est tout l’esprit slow tourism qui est important, car il est entièrement tourné vers la valorisation de la nature et la proximité avec celle-ci. Si vous avez lu attentivement cet article, vous verrez qu’il vous sera assez facile de passer des vacances écoresponsables.

Principe n° 4 : Visiter le patrimoine et ses terroirs pleins de surprises

Un côté du slow tourism très plébiscité également, c’est la découverte du patrimoine de la ville et la région qui peut prendre n’importe quelle forme : les spécialités culinaires et leur histoire, la culture ancrée dans la grande Histoire, le développement des arts, des croyances locales, superstitions, religions, traditions, légendes et folklore local.

Toutes ces pièces de puzzle mises bout à bout vous permettent de dessiner l’atmosphère de ce nouvel endroit et de la population locale. Découvrez les ressources naturelles disponibles dans cette ville, utilisez tous vos sens pour vous immerger dans la biodiversité du lieu, choisissez de profiter des différents produits locaux et respectueux de l’environnement, et partir à la rencontre de leur artisan créateur.

Au ressortir de cette expérience, vous ne repartez pas uniquement avec des étoiles plein les yeux, mais aussi avec de nouvelles connaissances culturelles. Ce type de voyage est autant pour le bien-être de l’esprit, que pour l’enrichissement humain et intellectuel.

Au lieu d’être un simple spectateur, vous choisissez d’être acteur de la production et de la fabrication, en apprenant des techniques de fabrication et en participant à des ateliers de création chez les artisans. Vous pouvez également visiter des fermes pour vous informer sur la vie agricole et peut-être même y loger, et participer aux activités quotidiennes de la ferme (entretien, champs, plantations, irrigation, animaux, surveillance des terres, etc.).


Comment j’ai connu le slow tourism ?

Ma première approche du slow tourism, je l’ai faite grâce à mon ancien travail, pour une plateforme d’hébergeurs écoresponsables. La plateforme avait pour rôle de mettre les hébergeurs en relation avec des particuliers, souhaitant faire du tourisme écologique, pour limiter leur impact environnemental.

La plateforme sélectionnait les hébergeurs répondant aux critères suivants : le tri des déchets, l’engagement à réduire son impact sur l’environnement, un accueil chaleureux et convivial et le partage de conseils écoresponsables.

Ensuite, les hébergeurs avaient un quota d’« éco-points » correspondant à une cinquantaine de critères répartis en 5 catégories. Ces points s’affichaient sur le site pour que le visiteur puisse connaître le « niveau » de l’hébergeur dans telle ou telle catégorie :

L’habitat : La conception et construction éthique et écologique, respectant l’environnement dans lequel le logement se situe et réduisant l’impact carbone.

L’Énergie : Une basse consommation énergétique ou toutes idées pour créer sa propre énergie naturellement.

3 R (Réduire, Réutiliser, Recycler) : Toutes idées pour le développement durable, réduire les déchets et limiter les eaux usées.

La gastronomie : Valoriser au maximum les plats fais maison, le manger sain, local et bio.

Le partage : Partager les gestes écologiques simples et encourager les comportements respectueux de l’environnement.

Mon travaille consistait à traiter les demandes de séjour des voyages. Lorsqu’un particulier faisait une demande, je gérais les réservations pour vérifier les disponibilités de l’hébergeur, le tarif, etc..

La seconde partie de mon travail consistait à mettre en relation les particuliers avec les hébergeurs. Qu’ils soient déjà dans une démarche écoresponsable ou non, tout le monde était accueilli de la même manière, sans jugement, et découvrait à son rythme les gestes écoresponsables à travers leur voyage.

La plateforme « VAOVERT» était donc totalement dans cet état d’esprit de slow tourism, ce qui m’a permis de le découvrir, avant de devenir organisatrice de voyage et proposer également ce style d’organisation de tourisme.


Comment je peux vous aider à organiser votre voyage version slow tourism ?


Phase 1 : La découverte de votre voyage

Tout d’abord, on fait connaissance pour me permettre de comprendre ce que vous souhaitez pour votre voyage, grâce à une fiche découverte que j’ai élaborée. Vos attentes, vos envies, vos rêves, sont importants, mais il y a aussi ce que vous savez ne pas vouloir, qui permet de restreindre l’éventail des possibilités.

Et bien sûr, c’est là que vous me signalez également que vous souhaitez faire un voyage slow, et ce que vous attendez de ce voyage. Voulez-vous vous ressourcer principalement ? Ou, vous concentrer sur la découverte de votre destination ? Est-ce que vous avez envie de faire un voyage, le plus écologique possible, exclusivement à vélo et à pied, par exemple ? Dans cette fiche vous me décrivez le voyage que vous souhaitez faire.

Ensuite, on s’appelle pour fixer quelques points, s’assurer que j’ai bien compris vos attentes, et éventuellement me donner des précisions que vous n’avez pas notées.

Le gros avantage quand vous passez par un indépendant, c’est que je peux faire du sur-mesure, a contrario de mes collègues en agence de voyage qui ne peuvent se référer, généralement, qu’à des offres préconçues. C’est pour cela que cette première phase est si importante : vous pouvez vraiment en profiter pour vous exprimer sur le voyage que vous voulez.

Phase 2 : La recherche de votre hôte et de vos activités slow

La particularité du slow tourism, comme son nom l'indique, veut que ce soit un voyage lent, donc pour ne pas passer toutes vos vacances sur le trajet aller-retour, je vous conseille de prévoir un minimum de cinq jours pour vos vacances à proximité (moins de 5h de trajet).

Ensuite, pour la recherche d’hébergement et des activités pour votre voyage, le slow tourism nécessite des recherches plus fouillées, étant donné qu’il y a plus de critères à respecter que dans le tourisme traditionnel.

Par exemple pour l’hébergement, bien qu’il en existe des référencés « slow » maintenant, il est possible que dans la région que vous souhaitez visiter, il n'y en est pas. Dans ce cas, « Booking » ne va pas m’aider. Je vais réaliser une recherche manuelle sur les moteurs de recherche, pour vous dénicher la perle rare, correspondant à tous les critères, ou en tout cas s’en rapprochant le plus.

Évidement, je vérifie les avis et les photos publiés pour l’hébergement sur les plateformes, les moteurs de recherche et les réseaux sociaux, afin de m’assurer que votre hôte et le logement soient accueillants. Si vous souhaitez loger dans un endroit en particulier, je procéderai à la même vérification pour votre tranquillité et que vous n’ayez pas de mauvaises surprises.

Pour s’assurer de la crédibilité de l’hébergeur et des lieux proposés, je regarde en priorité les labels écologiques reconnus : Ethic étapes (hébergement en France), Écolabel Européen (tous biens de consommation), Via nature (camping), Site et paysage (Camping), Cabane de France (logement insolite), La Clef Verte (hébergement et restauration), etc.

Côté loisirs, je vais dénicher de la même façon les activités bien-être, plein air, agricole ou découverte, selon les critères que vous me donnez. Une fois sur place, vous n'avez qu'à profiter, puisque toutes ces informations se trouvent dans votre carnet de voyage avec horaires et adresses.

Ainsi, vous pouvez choisir de prendre le temps que vous souhaitez pour vous, pour aller découvrir à l’improviste les terroirs environnant, pour aller faire un atelier confiture, ou pour faire une promenade à cheval. Vous restez maître de votre temps !

Il en va de même pour les moyens transports doux. Slow tourism oblige : c’est la base ! Je recherche donc pour vous comment vous pouvez vous déplacer en limitant votre impact carbone. Si le village que vous visitez propose des balades en calèche ou à dos d’âne, je vous promets de tout faire pour en être informée, et pouvoir vous le proposer !

Que vous connaissiez ce mode de tourisme écologique, un peu ou pas du tout, je vous accompagne tout au long de vos choix, pour vous conseiller sur les lieux d’hébergements et les activités. Nous verrons ensemble en fonction de vos goûts et préférences de voyage pour orienter mes propositions. Ensuite, à vous de voir si je fais les réservations pour vous.

Phase 3 : Le grand départ pour votre voyage en toute confiance

Le carnet de voyage en mains, ou plutôt dans vos emails, pour éviter l’utilisation du papier, il ne vous reste plus qu’à partir à l’aventure ! Vous partez en toute quiétude car je vous accompagne jusqu’à votre retour.

Alors non, je ne viens pas avec vous, mais vous pouvez me joindre à tout moment en cas de problème. Cette proximité que je garde avec vous malgré la distance me permet de vous rassurer durant votre voyage, et sur la gestion d’éventuels problèmes durant celui-ci.

Je commence par m’assurer que vous soyez bien arrivé et que tout se passe comme prévu. Ensuite, durant votre voyage mon téléphone reste ouvert et je regarde mes mails très régulièrement. Cela me permet d’être réactive en cas de problèmes et d'éviter de vous générer du stress qui gâcherait votre voyage.

Enfin, au retour nous échangeons par mail pour savoir comment le voyage s’est déroulé avec un questionnaire très court. Je vous demande dans celui-ci votre retour sur chaque endroit visité, ce qui me permet de le recommander à nouveau, ou pas. Vous pouvez également vous exprimer sur ma prestation en toute sincérité. Vos retours sur ces questionnaires sont très importants car ils me permettent d’avoir un retour sur la réalité du terrain, sur des endroits que je n’ai peut-être pas encore moi-même visités.


J’espère que cet article vous aura été utile et permis d’en apprendre davantage sur le slow tourism et sa pratique, ainsi que vous faire découvrir comment j’adapte l’organisation de voyage au slow tourism. Si vous avez des questions, je reste disponible par mail ou par téléphone.


Résumé en questions sur le slow tourism et comment je vous aide à organiser votre voyage slow :


D’où vient le slow tourism ou slow travel ?

Il a vu le jour dans les années 80 en Italie et est un héritage du slow food, un mouvement qui promeut un retour au « manger sain », fait maison et plus lentement. Il se veut à l’opposé des fast food.

Qu’est-ce que le slow tourism ?

Dans la lignée du slow, le slow tourism promeut de voyager lentement, se prendre le temps de la découverte, en faisant attention à son impact carbone. Il peut se pratiquer en local et à l’étranger, mais sur une longue durée.

Quels sont les principes du slow tourism ?

Il existe 4 principes de base dans le slow tourism : l’authenticité durant votre voyage, vous détendre et vous ressourcer l’esprit et le corps par le ralentissement, la mobilité douce et la découverte du patrimoine.

Comment j’ai connu le slow tourism ?

J’ai travaillé pour une plateforme d’hébergements écologiques, qui les mettait en relation avec des particuliers souhaitant voyager de manière plus verte. Cette plateforme se base sur les mêmes principes que le slow tourism.

Comment je peux vous aider à organiser votre voyage version slow tourism ?

Étant organisatrice de voyage, je peux vous concocter un voyage sur mesure, adapté aux exigences du slow, avec une étape découverte de votre voyage, pour me présenter tous vos critères, puis la recherche de l’hébergement et de vos activités pour vous détendre et découvrir la région. Également, je reste dispo par mail et téléphone en cas de problèmes, sans contraintes d’horaire d’agence.

Cet article a été rédigé par Elo rédac’ – Agence de slow marketing à Dijon.


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